mardi 31 mars 2015

Après le travail, enfin la récolte

J'en reviens pas! L'Éditeur d'un magazine très connu vient de communiquer avec moi et il veut que j'écrive pour leur publication.  Je ne peux pas vous dire le nom du magazine car j'ai peur que cela me porte malheur mais c'est un magazine européen WOW! Je profiterai même de mon prochain voyage en Europe pour effectuer une rencontre plus formelle.

Je devais partager ceci avec vous mes fidèles lecteurs, après tout vous étiez les premiers à me donner ma chance. 

Aussitôt que mon premier texte sera accepté je vous informerai parce que malheureusement, je devrai signer un contrat d'exclusivité et fermer mon blogue.

À bientôt!

Josée


La course à la vie

Par Josée

Les Bobos du Plateau courraient déjà entre le métro, le boulot et le dodo, maintenant ils courent pour le plaisir. À mon retour à la maison la semaine dernière, j'ai longé la piste cyclable de la rue Rachel et j'y ai vu plus de coureurs que de cyclistes. Avez-vous aussi l'impression que la course à pied est partout? Il me semble que dans mon entourage il y a plein de coureurs et de défis de course.

Comment expliquer ceci? Peut-être dans la simplicité de l'équipement? Une bonne paire de chaussures et de la volonté et vous y êtes. Ce qui est le plus impressionnant ce sont les coureurs d'hiver, parce que malgré l'hiver de fou que l'on vient de vivre j'en ai vu un certain nombre. De plus, quand je lis sur le sujet, les commentaires sur les bénéfices pour la santé sont assez unanimes.

Mais moi, j'ai déjà beaucoup trop couru. Je sentais toujours l'urgence de faire toujours plus, comme si ne rien faire était une perte de temps. J'en arrivais à croire que si je ne prenais pas les choses en mains personne d'autre ne le ferait. À trop courir on ne voit plus l'essentiel, alors maintenant je marche. En juin, je partirai un mois à Prague pour prendre mon temps et me perdre dans de longues marches. J'ai aussi découvert que mon imagination devenait très fertile lors de ces promenades.

La vie va trop vite, aujourd'hui je la  regarde au ralentie.